OGM: rejettés des assiettes, ils reviennent dans la seringue!
Une majorité de gens pensent que les OGM à bannir se limitent à la circonférence de leur assiette et qu'en Europe c'est chose plus
ou moins aisée grâce à l'étiquetage.... C'est sans compter les trésors d'imagination des industriels pour amender les lois en leur faveur, pour gruger les gens à coup de slogans et de termes pour
initiés, etc etc... A ce petit jeu les industriels de l'agriculture et de la pharmacie peuvent véritablement se donner la main!Alors que les uns prétendent pouvoir parler de développement
durable et clament leur volonté "humaniste" de nourrir plus de monde, les autres se prétendent experts en santé et clament leur volonté d'éviter des maladies! C'est ainsi que sur le site de
Monsanto par exemple, on peut lire que les produits insecticides/pesticides sont joliment appelés "produits phytosanitaires" ou "produits de protection des plantes" ou que les OGM végétaux sont
des "plantes génétiquement améliorées.
Que fait Big Pharma au juste? Exactement la même chose et le public ne semble hélas y voir que du feu! L'industrie n'en est pourtant pas à ses premiers vaccins transgéniques et le
public a peut-être déjà oublié le triste scandale du vaccin hépatite B (dont les versions Engerix B, Genhevac, Hevac, HB Vax sont fabriquées par génie génétique). Comme pour les différentes
versions du vaccin HB actuellement sur le marché, les vaccins anti-HPV (vaccins Gardasil et Cervarix) découlent d'une manipulation génétique loin d'être sans conséquences possibles sur la santé
des vaccinés....
Le vaccin GARDASIL est fabriqué à partir de levure de bière (saccharomyces cerevisiae) génétiquement modifiée pour produire les protéines vaccinales proprement dites c'est à dire dans le cas de
ce vaccin tétravalent les protéines L1 des souches 6 (20µg), 11 (40µg), 16 (40µg), 18 (20µg) de HPV. Les cellules de levure de bière ne sont pas choisies par hasard mais parce que leur très
grande rapidité de reproduction par mitoses sucessives se prête très bien à la production industrielle de masse qui est une production de masse. Pour arriver à faire produire par les cellules de
levure les protéines vaccinales -ce qui n'est pas du tout naturel- il faut forcémment modifier le matériel génétique des cellules et c'est précisément cela qui fera d'elles des OGM, Organismes
Génétiquement Modifiés.... Comment fait-on?
On va utiliser un vecteur qui va "transporter" dans les cellules de levures les séquences génétiques codantes pour les protéines vaccinales qu'on veut produire. Ce vecteur est le plus
souvent un plasmide d'une bactérie comme Escherichia Coli c'est à dire un ADN circulaire propre aux bactéries et qui est facile à manipuler pour ce type de technologie. Le plasmide va être
"sectionné" en différents endroits grâce à des enzymes spéciales et ce, afin d'y introduire les séquences génétiques codantes pour les protéines vaccinales. On ajoute aussi des substances
génétiques spéciales appelées "promoteurs" et des séquences dites activatrices sans quoi les séquences codantes pour les protéines vaccinales ne pourront être exprimées. Outre cela, on va aussi
ajouter un gène de résistance à un antibiotique (ex: ampycilline) ou à une substance toxique (ex: méthotrexate). Une fois ces informations ajoutées à l'ADN plasmidien, on "recolle" le
tout avec des enzymes toujours et le plasmide est fin prêt pour aller coloniser les cellules de levure de bière qui ne cessent de se multiplier à la vitesse grand V. Les plasmides
bactériens pénètrent très facilement les cellules de levures de bière et ces dernières vont donc commencer à produire les protéines vaccinales souhaitées. Mais comme, au cours de la procédure,
certaines cellules de levure de bière n'auront pas accueilli le plasmide en question, il faut, par souci de rentabilité, les éliminer des autres cellules qui elles, produiront bien les
protéines vaccinales et c'est là le sens des gènes de résistance à un antibiotique ou à une substance toxique que portent les plasmides. En effet, après le processus d'incorporation des plasmides
dans les cellules de levure de bière (=transfection), on va asperger les cellules de levure soit d'antibiotique soit d'un produit toxique. Les cellules qui mourront seront donc forcémment celles
qui n'ont pas le gène de résistance donc qui ne contiennent pas le plasmide et ne pourront pas produire les protéines vaccinales. Et voilà, le tri est fait!
Une fois qu'on a recueilli les différentes protéines L1 toutes produites séparémment, on va les auto- assembler en pseudo-particules virales (PPV) et ce afin de leurrer le système
immunitaire dont les composants du système inné ne savent répondre qu'à des agents microbiens avec un pouvoir infectant réel (et pas bricolés en labo). Une fois qu'on a ces différents
assemblages en PPV, on va les "purifier" pour obtenir le produit aqueux final. Ce processus de purification se trouve déjà compliqué étant donné que les cellules de levure de bière ne sécrètent
pas les protéines vaccinales dans le milieu de culture, ce qui impose pour les récolter de faire éclater les cellules. Cette purification n'est JAMAIS totale et, pour se faire une idée, les
vaccins HB Genhevac et Engerix ont respectivement une "pureté" de 95 et 97%. Si cela peut sembler à première vue très honorable, il ne faudrait tout de même pas oublier que 5 ou même 3%
d'impuretés génétiques cela correspond à des milliers de paires de bases et donc à un grand nombre de nucléotides (= maillons de base du génome) donc à une information génétique potentiellement
très perturbatrice pour l'ADN du sujet vacciné avec des conséquences pouvant apparaitre sur le très très long terme!
Chaque produit aqueux final (PAF) de HPV est alors adsorbé séparément sur aluminium et devient ce qu'on appelle un produit monovalent adsorbé en vrac (PMAV). Le vaccin final sera
donc une combinaison des 4 types de produits monovalents adsorbés en vrac (PMAV). Et bien sûr sur les notices, pour ceux qui les lisent, il ne sera noté que "vaccin recombinant
adsorbé" ce qui en langage clair signifie: "technologie OGM + aluminium". Des termes pour initiés en espérant que le public sera dupe!
Et hélas il l'est, ça marche! Il refuse à corps et à cris, à fort juste titre ceci dit, les OGM alimentaires mais, par ignorance, il tend le bras pour son vaccin, parce que "Dr Untel ou Pr
Machin a dit que", sans se rendre compte de son incohérence. La majeure partie des gens qui refusent les OGM les refusent sans vraiment savoir EN QUOI ceux-ci peuvent nous nuire mais il est bon
de le rappeler car si les OGM alimentaires sont dangereux, les vaccins obtenus par la même technologie le sont encore plus, ces derniers ne passant même par par le filtre intestinal, sorte de
verrou protecteur si l'on veut. En quoi les OGM alimentaires sont-ils nuisibles? Le Dr Arpad Pusztai, un éminent chercheur anglais qui a mené une expérience comparative sur des rats nourris avec
des OGM et un groupe témoin a pu mettre en évidence, après l'autopsie des rats des deux groupes que, les rats nourris seulement dix jours avec des OGM présentaient déjà un affaiblissement
immunitaire, une prolifération cellulaire au niveau du tube digestif et une surstimulation du pancréas, des intestins, de la prostate et des testicules. Evidemment, comme ces résultats -que ne
s'attendait pas à observer le chercheur anglais- ne sont pas du goût des fabricants, ceux-ci ont obtenu la tête du chercheur qui a fini par être odieusement licencié et ils se sont mis à financer
en masse une myriade d'études biaisées en espérant que le public se sentirait rassuré par ce "contrepoids quantitatif" aux études accablantes sur le
sujet.
Dans le cas des vaccins issus de cette technologie, certains feront remarquer qu'ils ne sont pas des OGM mais seulement issus d'OGM. Certes, un OGM est un organisme vivant (être uni ou
pluricellulaires) et non un produit inerte comme un vaccin MAIS ces finesses du langage ne doivent en rien occulter le fait que les résidus génétiques des vaccins ont une action encore bien plus
hasardeuse que celles des OGM alimentaires. En effet, même s'il est néfaste de manger des aliments OGM, il y a là une notion de durée de consommation qui reste maitrisable par le consommateur qui
souhaiterait contrôler ses apports (pour autant que l'étiquettage existe ce qui n'est par exemple par le cas aux USA). De plus les aliments transgéniques eux passent par le filtre intestinal qui
a une action protectrice. Avec un vaccin recombinant, le corps est pris "par surprise", ses barrières muqueuses sont courcircuitées et le vaccin ayant vocation à agir dans le temps, on ne sait en
rien limiter temporellement les effets des résidus une fois l'injection faite.
Ces résidus génétiques posent de gros problèmes et ce n'est pas faute de l'avoir fait savoir. Très vite après la sortie des vaccins recombinants contre l'hépatite B (en 1986), le Pr Mirko
Beljanski, ex directeur de recherche au CNRS avait déjà publié une étude inquiétante de différentes enzymes virales. Dans l'étude publiée en 87 et intitulée "Terminal deoxynucleotidyl transferase
and ribonuclease activities in purified hepatitis-B antigen", le Pr Beljanski expliquait que les vaccins recombinants contre l'hépatite B contiennent des enzymes comme la Tdt (Terminal
deoxinucleotidyl transferase) et des ribonucléases, des enzymes qui peuvent respectivement induire la synthèse de segments génétiques aberrants et détruire les ARN produits pas les cellules
du sujet vacciné! Le Pr Beljanski légitimement scandalisé par l'incohérence flagrante qu'il y a à s'inquiéter du taux croissant de cancers et à fermer les yeux sur ce type de dérive commerciale
interrogeait le monde et surtout les responsables en ces termes: "Lorsqu’on affirme qu’une mutation peut engendrer le cancer, que dire alors de fragments d’ADN aberrants synthétisés dans la
cellule hôte par un enzyme viral ! Que dire d’ARN dégradé, ou de fragments d’ARN libérés et dont l’activité est incontrôlable ? Le vaccin contre l’hépatite B issu du génie
génétique contient 10-15 fois plus d’activité dangereuse (Tdt)que le vaccin traditionnel. Pourquoi tout ceci n’a-t-il pas été contrôlé avant la diffusion ?" Réponse: parce que les
fabricants qu'ils soient marchands de vaccins ou d'OGM ne pensent qu'au profit! De ce profit indécent pour quelques un, jailliront des leucémies et autres cancers pour beaucoup d'autres...
Et pour garantir leurs profits, ces fabricants peuvent compter sur de solides alliés comme sainte OMS, l'incohérente et la corrompue. En effet, l'OMS qui est championne en titre des études
et des investigations est étrangement toujours lanterne rouge dès qu'il s'agit de tirer des conclusions qui épousent le principe de précaution. Dans son ouvrage "Vaccinations, les vérités
indésirables", Michel Georget rappelle ainsi que sainte OMS est bien consciente de ce problème lié à la présence d'ADN contaminant hétérogène et de protéines transformantes dans les
vaccins puisqu'elle en parle même dans un de ses rapports *... Voici ce que l'agence, championne du monde de l'incohérence dit de l'ADN contaminant hétérogène (pouvant provenir des
cellules de culture ou du plasmide bactérien trafiqué d'où risque de cancer si ces séquences interfèrent avec notre génome): "Même s'il est possible d'indiquer une limite supérieure de
contamination d'un produit fini par de l'ADN hétérogène et, même si toutes les expériences indiquent que des quantités d'un tel ADN de l'ordre de quelques picogrammes sont biologiquement
inactives dans un grand nombre d'épreuves, on ne peut pas plus affirmer l'absence totale d'ADN et du risque qui lui est lié dans les produits obtenus en lignées cellulaires
continues que dans les produits issus de cultures primaires de cellules et de cultures de cellules diploïdes [...] Un des grands problèmes soulevés [à cette conférence]
est le RISQUE DE MALIGNITE que pourrait présenter à long terme un ADN contaminant hétérogène, en particulier s'il s'avère qu'il contient des séquences codantes ou régulatrices
potentiellement oncogènes. Ce point est réellement préoccupant, car de nombreuses personnes en bonne santé, notamment des nourrissons, seront peut-être vaccinées avec des produits issus de
lignées cellulaires continues, ou les recevront de toute manière."
Les lecteurs doivent donc fort logiquement comprendre que l'OMS qui est censé chapauter ce type de campagne vaccinale à l'échelle du monde ne maitrise rien et ne sait en rien si oui ou non ces
vaccins peuvent induire des cancers. Pour faire plaisir à ses amis de l'industrie, l'OMS va véritablement se surpasser puisque non seulement elle n'applique pas le principe de précaution que
chacun serait en droit d'exiger de sa part mais pire, elle va oser affirmer que ces vaccins anti-HPV (comme elle a déjà osé affirmer que les vaccins recombinants anti hépatite B luttent
contre les cancers du foie!) lutteront contre le cancer du col dans le monde. Le pari fou de sainte OMS et de ses acolytes au premier rang desquels l'industrie est donc de vous faire gober à vous
public que des vaccins contenant des produits pouvant générer des cancers serviront à lutter contre le cancer! Au terme de cet article, j'ai envie de vous poser la question à vous lecteurs:
allez-vous leur permettre de gagner leur pari?
Sources:
Notice du Gardasil
"Information ou désinformation" de Sylvie Simon, édition Guy Trédaniel
"Le monde selon Monsanto" de Marie Monique Robin, Arte éditions
"Vaccinations, les vérités indésirables" de Michel Georget, éditions Dangles
* "Acceptabilité des substrats cellulaires pour la production de substances biologiques", Rapport technique OMS, n°747, 1987
"Vaccination: erreur médicale du siècle", édition Louise Courteau
http://64.233.183.104/search?q=cache:g8euv4dtaocJ:www.amessi.org/Vaccins-destructeurs+vaccin+HB+Tdt+beljanski&hl=fr&ct=clnk&cd=1&gl=be
http://64.233.183.104/search?q=cache:TjCVopvw9vcJ:www.hc-sc.gc.ca/dhp-mps/prodpharma/sbd-smd/phase1-decision/drug-med/sbd_smd_2007_gardasil_102682_f.html+fabrication+du+gardasil+saccharomyces+cerevisiae&hl=fr&ct=clnk&cd=2&gl=be